Marketing numérique Fake Out Of Home : l’art de créer l’illusion pour un marketing viral by Doris 28/06/2025 written by Doris Dans le paysage du marketing en constante évolution, une nouvelle tendance émerge, attirant l’attention et soulevant des questions sur les frontières entre réalité et illusion. Bienvenue dans l’univers du Fake Out of Home Advertising, ou FOOH, une approche révolutionnaire qui transforme la manière dont les marques interagissent avec leurs publics dans la sphère numérique. Contrairement aux panneaux publicitaires 3D traditionnels, ce type de publicité exploite la puissance de la technologie CGI pour créer des communications visuelles spectaculaires, brouillant les frontières entre le réel et le virtuel. Le Fake Out of Home Advertising, plus couramment appelé FOOH, est une forme avant-gardiste de publicité extérieure qui s’appuie sur des technologies de pointe, principalement l’imagerie générée par ordinateur (CGI), pour créer des images hyperréalistes qui simulent des installations physiques dans l’espace urbain — mais qui n’existent qu’à travers des contenus numériques. Ces publicités immersives sont conçues avec une grande précision pour capter l’attention dans un flux social saturé, susciter l’engagement et générer du buzz sur les réseaux sociaux. Ce format a séduit de nombreuses enseignes, de Balenciaga à Jacquemus, en passant par L’Oréal, Nike ou Coca-Cola. Cette stratégie créative, parfois controversée ou clivante, continue de gagner en popularité et évolue en parallèle des nouvelles technologies, offrant des expériences toujours plus marquantes et immersives. De plus en plus, les marques misent sur l’ingéniosité et la créativité dans leurs campagnes FOOH pour maximiser leur impact et capter l’attention des consommateurs. FOOH et L’illusion du réel Ce qui distingue le FOOH, c’est son hyperréalisme saisissant. Ces publicités créent un contenu numérique qui pourrait aisément être confondu avec une expérience réelle. Ces stratégies FOOH ont le pouvoir d’émerveiller et de captiver. Grâce aux technologies CGI (Computer-Generated Imagery) et à l’évolution des outils d’intelligence artificielle, les marques mettent en scène des objets géants, des interactions impossibles ou des mises en scène artistiques spectaculaires, souvent autour de monuments emblématiques comme la Tour Eiffel, le Big Ben, la Statue de la Liberté… La seule limite est celle de l’imagination. Le facteur surprise, associé à cette interrogation – « Est-ce réel ou non ? » – incite les spectateurs à interagir avec la publicité et à la partager sur les réseaux sociaux, générant ainsi un fort taux de viralité et une portée organique considérable pour les marques. L’attrait du FOOH dans votre stratégie marketing Le FOOH séduit de plus en plus grâce à sa capacité à créer un lien émotionnel fort avec le public. Il transporte les spectateurs vers des destinations lointaines, les immerge dans des univers fantastiques ou leur permet de visualiser un style de vie idéal. Cette résonance émotionnelle se traduit souvent par un engagement accru envers la marque, favorisant une connexion plus profonde entre le consommateur et le produit ou service présenté. C’est comme si la marque prenait vie pour nous murmurer à l’oreille et nous inviter à faire partie de son histoire. Mais la magie du FOOH ne s’arrête pas là. Sa capacité à nous surprendre et à remettre en question notre perception du réel en fait un outil redoutable pour générer du contenu viral et un impact organique massif. Imaginez une œuvre de street art qui s’anime soudainement, ou une vitrine digne d’un film de science-fiction. Ces expériences visuelles saisissantes suscitent l’émerveillement et nous poussent à les partager, décuplant ainsi la portée de la campagne sur le web. L’impact du FOOH sur le comportement des consommateurs À mesure que le FOOH gagne en visibilité et en sophistication, il est essentiel de s’interroger sur son influence sur les comportements des consommateurs. Ces publicités surprenantes et ultra-réalistes modifient profondément notre manière de percevoir les marques, et influencent nos interactions avec elles. Leur efficacité réside dans leur capacité à créer une rupture, à éveiller la curiosité, et à ancrer le message de façon mémorable. Un nouveau terrain d’expression pour les marques Contrairement à l’affichage physique, les campagnes FOOH sont libérées des contraintes logistiques et budgétaires du réel. Elles permettent de tester des idées audacieuses, de s’implanter virtuellement dans des lieux mythiques, et d’inscrire la marque dans une narration artistique et virale. Séduire sans tromper : les défis éthiques du FOOH Si le FOOH intrigue par son pouvoir d’attraction, il interroge aussi sur ses implications. Le Fake Out of Home fascine par son audace artistique et sa capacité à créer des illusions spectaculaires. Cet art de la mise en scène pousse les frontières de la créativité en investissant l’espace public. Pourtant, cette puissance visuelle invite à réfléchir sur la nécessité de garder une certaine transparence pour ne pas compromettre la confiance. L’enjeu est donc de conjuguer créativité, innovation et authenticité, où l’art sert le message sans le dénaturer. Sur le plan éthique, brouiller les frontières entre fiction et réalité pose la question de la transparence. Lorsqu’une marque laisse croire qu’une scène spectaculaire s’est réellement produite dans l’espace public, elle joue sur l’ambiguïté. Pour éviter de tomber dans la manipulation, il est essentiel que le caractère fictionnel soit identifiable – même a posteriori – afin de maintenir une relation de confiance avec les publics. La créativité ne doit pas se faire au détriment de la clarté du message. Sur le plan stratégique, le risque de l’effet « trop beau pour être vrai » est réel. Un contenu trop spectaculaire peut générer un effet d’émerveillement immédiat, mais aussi de la suspicion. Pour conserver sa crédibilité, la marque doit veiller à ce que la promesse visuelle soit cohérente avec son univers, ses valeurs et l’expérience réelle qu’elle propose. Sinon, le décalage entre le fantasme et la réalité peut engendrer déception ou cynisme. Enfin, sur le plan narratif, une campagne FOOH réussie ne doit pas reposer uniquement sur l’effet de surprise. Une fois la première vague virale passée, la question centrale reste : quel message retient-on ? Pour garantir la pertinence du contenu dans la durée, il est crucial de l’ancrer dans une stratégie de storytelling plus large, où chaque prise de parole s’inscrit dans une continuité, avec du sens, de la cohérence, et une vraie valeur ajoutée pour le public. Le Fake Out of Home ouvre des perspectives inédites en matière de créativité et de viralité. Il démontre la capacité des marques à capter l’attention dans un paysage saturé, en jouant avec les codes du réel. Mais son efficacité repose sur un équilibre délicat : étonner sans tromper, séduire sans exagérer, marquer sans trahir.Pour s’inscrire dans la durée, le FOOH ne peut se limiter à l’effet “waouh” : il doit s’intégrer dans une vision stratégique, éthique et narrative plus large, où l’illusion n’est qu’un levier au service d’un message pertinent et cohérent. Pourquoi faire appel à une agence pour une campagne FOOH ? Le FOOH séduit par l’illusion, mais il ne vaut que s’il s’inscrit dans un message clair, crédible et durable. Créer une campagne FOOH réussie, c’est raconter une histoire visuelle, susciter l’émotion, tout en respectant l’identité de marque. Cela nécessite une approche stratégique, un sens aigu de la direction artistique et une parfaite maîtrise des outils créatifs. Chez Web Influence, nous maîtrisons cette approche d’Artketing digital pour concevoir des campagnes FOOH qui séduisent autant par leur beauté que par leur efficacité. Une parfaite alliance entre art et marketing, pensée pour faire rayonner votre marque autrement. Chez Web Influence, nous combinons expertise en branding, sensibilité artistique et maîtrise des technologies immersives pour créer des FOOH sur mesure. Que ce soit pour sublimer un produit, renforcer une identité ou marquer les esprits, nous transformons vos idées en images spectaculaires. Et si votre marque devenait virale ? Que vous souhaitiez lancer un produit, célébrer un moment fort ou simplement générer du buzz, nous imaginons pour vous une campagne FOOH mémorable, alignée avec votre image de marque. Et si votre prochain lancement devenait un événement visuel mondial ? Contactez-nous 28/06/2025 0 comments 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Artketing Ruinart par l’artiste Eva Jospin by Doris 16/01/2024 written by Doris Depuis 2008, la Maison Ruinart confie chaque année la réinterprétation artistique de son patrimoine à des artistes contemporains. Pour l’édition 2023 de sa Carte Blanche, elle invite Eva Jospin, artiste plasticienne reconnue pour ses paysages sculptés et sa sensibilité au vivant. À travers cette collaboration, Eva Jospin livre une vision sensible et stratifiée du terroir de la Montagne de Reims, berceau de la Maison Ruinart. Ce territoire, qu’elle perçoit comme un paysage en coupe, est traversé par des couches géologiques, historiques et symboliques : les crayères souterraines, les racines des vignes, les sacres royaux à Reims, l’histoire de la famille Ruinart anoblie sous Charles X, la reconversion des carrières de craie en caves, ou encore l’engagement contemporain pour la biodiversité. Son œuvre pour Ruinart prend la forme d’un ensemble de dessins, sculptures et broderies, où se mêlent les cycles du végétal et ceux de l’histoire. Elle y restitue l’alchimie subtile entre nature, mémoire et savoir-faire, essence même de l’élaboration du champagne. Formée à l’École des Beaux-Arts de Paris, Eva Jospin a très tôt développé une capacité d’observation fine, qu’elle traduit dans un travail minutieux. Dans son atelier, elle choisit le carton – matériau modeste et accessible – comme support de création. Sous ses mains, il devient forêt, grotte ou architecture végétale, alliant une précision artisanale à une dimension monumentale, immersive et onirique. Curieuse de toutes les formes, l’artiste enrichit sa pratique en explorant le dessin à l’encre de Chine, les volumes sculptés, la broderie ou encore le bronze et les fils de cuivre. Les nymphées et jardins de la Renaissance inspirent également ses créations, entre paysage rêvé et relecture poétique du réel. Nourrie de références historiques, son œuvre propose une vision renouvelée du paysage, entre nature recomposée et imaginaire intime. Très remarquée, elle a réalisé plusieurs commandes majeures, notamment pour le groupe Emerige ou la maison Christian Dior. Avec cette Carte Blanche, Ruinart poursuit son dialogue fécond entre art contemporain et patrimoine vivant, en offrant à Eva Jospin un terrain d’expression à la mesure de son univers riche et sensible. 16/01/2024 0 comments 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Artketing Do Son, un parfum de souvenirs : Diptyque s’associe à Werlen Meyer et James Blake by Doris 09/01/2024 written by Doris Diptyque célèbre avec poésie et modernité son emblématique parfum Do Son à travers un court métrage animé, fruit d’une collaboration artistique entre le studio Werlen Meyer et le musicien britannique James Blake. Ce projet inédit illustre l’attachement de la Maison aux récits sensibles et à la création contemporaine. Réalisé dans un style graphique à la fois raffiné et vivant, le film plonge dans les souvenirs d’enfance d’Yves Coueslant, l’un des trois fondateurs de Diptyque. Sur les rivages de Do Son, petite ville côtière du Vietnam, il se remémore les instants passés au bord de la mer, bercé par la brise chargée de senteurs florales – celles que sa mère affectionnait tant. Ce parfum d’enfance, évocateur et intime, deviendra plus tard une source d’inspiration majeure pour la Maison. Pour accompagner cette narration visuelle, Diptyque confie la composition de la bande originale à James Blake, fidèle de la Maison et figure marquante de la scène musicale actuelle. Récompensé par un GRAMMY® Award et le Mercury Music Prize, l’artiste compose ici une pièce empreinte de délicatesse et de mélancolie. « Diptyque m’a donné envie de créer un morceau rétrospectif. Il fallait que ce soit la musique des souvenirs racontés dans l’histoire de Do Son », confie-t-il. « J’ai cherché autant que possible à souligner les contours émotionnels du film animé. » Les rencontres et les collaborations, la création à plusieurs mains, façonnent Diptyque depuis toujours. Elles sont indissociables de son histoire, construite sur le rapprochement et la réunion de sensibilités communes – celles des trois fondateurs, issus du monde de l’art, et celles de tous les artisans, artistes et créateurs ayant contribué à son identité depuis les débuts. Aujourd’hui encore, Diptyque continue de tisser ces passerelles entre art et parfum. La Maison pose sur son univers un regard artistique qui dépasse le simple cadre de la beauté pour devenir une véritable expression culturelle. Pour Diptyque, un parfum est avant tout un voyage sensoriel unique. L’art permet de poser un regard inédit sur ce voyage. Chaque nouveau territoire — qu’il soit olfactif, visuel ou narratif — devient un espace de création, où senteurs, récits et images se répondent en parfaite synesthésie. Le choix des artistes repose sur une affinité avec l’esprit de Diptyque, mais aussi sur leur capacité à apporter une sensibilité nouvelle, une réinterprétation des multiples facettes de la Maison. Il s’agit autant de préserver l’essence de la marque que d’oser des écarts, de prendre des risques pour ne pas s’enfermer dans son propre univers — et mieux surprendre. Avec Do Son, Diptyque démontre une fois encore que l’émotion, l’imagination et l’exigence artistique sont au cœur de son identité. 09/01/2024 0 comments 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Artketing Gucci x Ignasi Monreal : quand l’art classique flirte avec le digital by Doris 26/06/2023 written by Doris Dans l’univers du luxe, certaines campagnes publicitaires tiennent de l’exposition d’art. C’est le cas de la collaboration entre Gucci et Ignasi Monreal, illustrateur espagnol dont le style numérique revisite les grands classiques avec une touche de surréalisme audacieuse. Associer la peinture classique au langage numérique : tel est le pari réussi d’Ignasi Monreal, illustrateur espagnol au style immédiatement reconnaissable. À travers ses compositions oniriques, cet artiste brouille les frontières entre les époques, mêlant références antiques, détails contemporains et une bonne dose de surréalisme. On lui doit notamment un chevalier en armure consultant son smartphone, Pégase relégué dans un parking Gucci ou encore une pêche céleste où des jeunes femmes attrapent des avions depuis les nuages. Un univers fantasque et réfléchi, né d’une collaboration initiée en 2015 dans le cadre du projet #GucciGram, où les motifs GG Caleido et GG Blooms se déployaient sur fond de bulletins météo et de publicités rétro. Ce partenariat fructueux trouve son apogée lors du défilé Cruise 2018 au Palais Pitti de Florence. Les illustrations de Monreal deviennent alors des imprimés, ornant T-shirts et pièces fortes de la collection. Peu après, ses créations monumentales s’affichent sur les Gucci Art Walls à New York et Milan, à l’occasion du lancement du parfum Gucci Bloom, imaginé par Alessandro Michele. Inspiré par la Renaissance italienne, Ignasi Monreal évoque un “Locus Amoenus”, lieu littéraire idéal où l’on s’échappe de la ville. Sur l’un des murs, une table florale rend hommage à la technique du pietre dure, mosaïque florentine réalisée à partir de marbre et de pierres précieuses, directement inspirée d’une visite à l’Office de la Pierre Dure à Florence. L’artiste poursuit ensuite cette exploration symbolique avec la Campagne de Cadeaux 2017, où dieux grecs, titans et codes alchimiques se croisent dans un décor entre mythologie et réalité. Pour le Printemps-Été 2018, il s’inspire d’œuvres classiques — comme l’Ophélie de John Everett Millais — qu’il confronte aux imprimés vibrants de la nouvelle collection. Monreal y incarne même, avec ironie, le conservateur d’une galerie Gucci fictive dans une vidéo de campagne. Les illustrations de cette saison se déclinent aussi en objets désirables : T-shirts et sweat-shirts en édition limitée, chacun accompagné d’une étiquette numérotée et d’un emballage collector signé de l’artiste. Avec cette collaboration, Gucci et Ignasi Monreal proposent une vision audacieuse, où le passé dialogue avec le présent dans une esthétique riche, hybride et résolument contemporaine. En confiant son image à un artiste à l’univers aussi singulier, Gucci illustre parfaitement ce que l’on appelle l’artketing : cette rencontre stratégique entre expression artistique et communication de marque. 26/06/2023 0 comments 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Artketing Perrier-Jouët : L’art de faire pétiller la nature by Doris 05/01/2023 written by Doris Depuis plus de deux siècles, la Maison Perrier-Jouët cultive un lien étroit avec l’art et la nature. Animée par l’héritage de ses fondateurs, elle fait dialoguer ses champagnes d’exception avec la création contemporaine, en collaborant régulièrement avec des artistes sensibles à la nature. La naissance de la Maison, en 1811, est l’histoire d’un couple uni par une même passion pour la nature et les arts : Pierre-Nicolas Perrier, vigneron et botaniste passionné, et Rose-Adélaïde Jouët, femme cultivée issue d’une famille de marchands normands. Ensemble, ils décident de bâtir une maison de champagne différente, fondée sur l’élégance, l’harmonie et une vision inspirée du monde vivant. Cette passion familiale ne cesse de se transmettre. Leur fils Charles Perrier, lui aussi botaniste, reprend la direction de la Maison en 1848 et perpétue cet idéal d’un champagne raffiné, intimement lié à la nature. Cette sensibilité façonne encore aujourd’hui l’âme de Perrier-Jouët. L’empreinte artistique de la Maison se manifeste notamment à travers son lien historique avec le mouvement Art nouveau. En 1902, Émile Gallé dessine pour Perrier-Jouët la célèbre anémone du Japon, motif délicat qui orne quatre magnums émaillés et inspire la cuvée emblématique Belle Époque, désormais renommée à l’international. Aujourd’hui, cette alliance entre art et nature se prolonge sous l’univers original « Art de la nature », qui revisite le luxe avec élégance. Chaque cuvée incarne cette philosophie : des champagnes harmonieux, floraux, aux notes délicates, porteurs d’un style inimitable. Millésime après millésime, Perrier-Jouët cultive une signature gustative unique, tout en s’ouvrant aux avant-gardes artistiques. Depuis plusieurs années, la Maison se distingue par ses collaborations audacieuses avec des artistes contemporains. Bethan Laura Wood, avec son design coloré et organique, ainsi que le duo mischer’traxler, engagé dans une réflexion profonde sur la biodiversité, ont su réinterpréter avec sensibilité l’univers de Perrier-Jouët. Ces collaborations prolongent l’engagement de la Maison en faveur d’une viticulture durable et responsable. En s’associant à des créateurs partageant leur amour de la nature, Perrier-Jouët explore de nouveaux récits, transmet des émotions fortes et renouvelle sa connexion avec le public. Cette vision artistique se manifeste aussi à travers des événements culturels, des installations immersives et des éditions limitées conçues comme de véritables objets d’art. En faisant appel à la puissance évocatrice de la création, Perrier-Jouët affirme son engagement : faire pétiller la nature tout en lui rendant hommage. 05/01/2023 0 comments 0 FacebookTwitterPinterestEmail